Depuis l’arrivée de la COVID-19 en France, les mesures sanitaires ne font que s’amplifier pour mieux nous protéger.
Les bars, les restaurants, les magasins, les cinémas ont dû s’adapter, non sans répercussions sur leur chiffre d’affaires. Si vous habitez à Paris, vous prenez sans doute parfois un taxi ou un VTC pour rentrer chez vous tard le soir ou tout simplement pour éviter de tourner 3 heures pour trouver une place de stationnement. Quelles sont les précautions à prendre quand on monte dans le véhicule? Comment les chauffeurs se sont-ils adaptés? J’ai mené ma petite enquête…
La réglementation pour les taxis et VTC
Déjà, si vous ne connaissez pas la différence entre les 2, je vous conseille d’aller jeter un oeil sur taxis-vtc.eu pour connaître les formules qu’is proposent.
Evidemment, la première mesure obligatoire est de porter un masque dans un véhicule pour vous protéger et protéger le chauffeur. La plupart ont d’ailleurs reçu une formation spéciale pour appliquer les gestes barrière.
Ensuite, il est indispensable de se laver les mains avant et après être entrés dans le véhicule. Le plus simple est d’appliquer du gel hydro-alcoolique, il faut en avoir toujours sur soi. Vous devrez éviter de déposer des bagages sur les sièges et ouvrir vous-même le coffre. Si vous toussez, prenez l’habitude de le faire dans le creux de votre coude.
Pour finir, privilégiez le paiement sans contact, si la course fait moins de 50€.
Retrouvez la liste des gestes barrière ici.
L’impact de la crise sur le business des taxis et VTC
L’épidémie a évidemment énormément affecté taxis et VTC et leur chiffre d’affaires a plongé. Moins de tourisme, donc mois de demande dans les aéroports (une course par heure en moyenne contre toutes les 15 minutes auparavant).
Le gouvernement a donc pris la décision d’inclure la profession dans le “plan tourisme” de redressement économique.